Le jeu des alliances et des mariages a fait passer le château dans plusieurs familles jusqu’en 1775, année durant laquelle, Mademoiselle de Meilhards épouse Monsieur Barbou des Places, issu d’une famille d’imprimeurs lyonnais anoblie en 1600. La propriété appartient toujours à l’un de leurs descendants. Le nom demeure, mais le château primitif a été en partie détruit lors d’un incendie en 1781. Il en reste un mur d’enceinte, deux portails d’entrée, des communs et des salles voûtées. Une demeure a été reconstruite sur ces ruines au XIXe siècle.
(ne se visite pas).